Roumanie
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(English version follows)
Le peintre roumain Sabin Balada est né le 17 juin 1932 à Dobriceni. Auteur, réalisateur de films de peinture et écrivain, il a étudié aux Beaux-Arts de Bucarest et à l'Académie des BA de Pérouse en Italie. Il a peint un univers unique de figures archétypales et de thèmes métaphysiques exprimés à travers une structure philosophique immergée dans une atmosphère romantique et cosmique. Ses œuvres sont au Musée national d'art de Roumanie. Ses murales situées dans les universités abordent la mythologie et des légendes universelles. Ses publications touchent sa vision de l’importance de l’art pour l’humain. Il est décédé le 1er avril 2008 à Bucarest.
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Romanian painter Sabin Balada was born on June 17, 1932 in Dobriceni. Author, director of painting films and writer, he studied at the Fine Arts in Bucharest and at the FIne Arts Academy in Perugia in Italy. He painted a unique universe of archetypal figures and metaphysical themes expressed through a philosophical structure immersed in a romantic and cosmic atmosphere. His works are at the National Art Museum of Romania. His murals located in universities address themes from mythology and universal legends. His publications touch on his activity and his vision of the importance of art for humans. He died on April 1, 2008 in Bucharest.
Le peintre roumain Sabin Balada est né le 17 juin 1932 à Dobriceni. Auteur, réalisateur de films de peinture et écrivain, il a étudié aux Beaux-Arts de Bucarest et à l'Académie des BA de Pérouse en Italie. Il a peint un univers unique de figures archétypales et de thèmes métaphysiques exprimés à travers une structure philosophique immergée dans une atmosphère romantique et cosmique. Ses œuvres sont au Musée national d'art de Roumanie. Ses murales situées dans les universités abordent la mythologie et des légendes universelles. Ses publications touchent sa vision de l’importance de l’art pour l’humain. Il est décédé le 1er avril 2008 à Bucarest.
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Romanian painter Sabin Balada was born on June 17, 1932 in Dobriceni. Author, director of painting films and writer, he studied at the Fine Arts in Bucharest and at the FIne Arts Academy in Perugia in Italy. He painted a unique universe of archetypal figures and metaphysical themes expressed through a philosophical structure immersed in a romantic and cosmic atmosphere. His works are at the National Art Museum of Romania. His murals located in universities address themes from mythology and universal legends. His publications touch on his activity and his vision of the importance of art for humans. He died on April 1, 2008 in Bucharest.
(English version follows)
Le peintre impressionniste roumain Nicolae Dărăscu naît le 28 février 1983 à Giurgiu. Il étudie à l'École nationale des Beaux-Arts de Roumanie et reçoit, après avoir gradué, une bourse d'étude de l'Académie Julian de Paris. Puis, il étudie aux Beaux-Arts de Paris. Il voyage beaucoup, et vit dans le sud de la France (Toulon, St-Tropez) et à Venise, en Roumanie à Vlaici, puis à Baltchik en 1919. Il garde contact avec de nombreux artistes européens et visite de nombreux musées d'art. Il peignait, rarement, des natures mortes avec plusieurs autres artistes roumains. Il fonde l'association artistique Arta Română et est aussi professeur d'art à l'Académie des Beaux-Arts de Bucarest. Il meurt le 14 août 1959 à Bucarest.
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Romanian impressionist painter Nicolae Dărăscu was born on February 28, 1983 in Giurgiu. He studied at the National School of Fine Arts in Romania and received, after graduating, a scholarship from the Académie Julian in Paris. Then, he studied at the Beaux-Arts in Paris. He travelled a lot, and lived in the south of France (Toulon, St-Tropez) and Venice, in Romania (Vlaici), then in Baltchik in 1919. He kept in touch with many European artists and visited many art museums. He rarely painted still lifes with several other Romanian artists. He founded the artistic association Arta Română and became also an art teacher at the Academy of Fine Arts in Bucharest. He died on August 14, 1959 in Bucharest.
Le peintre impressionniste roumain Nicolae Dărăscu naît le 28 février 1983 à Giurgiu. Il étudie à l'École nationale des Beaux-Arts de Roumanie et reçoit, après avoir gradué, une bourse d'étude de l'Académie Julian de Paris. Puis, il étudie aux Beaux-Arts de Paris. Il voyage beaucoup, et vit dans le sud de la France (Toulon, St-Tropez) et à Venise, en Roumanie à Vlaici, puis à Baltchik en 1919. Il garde contact avec de nombreux artistes européens et visite de nombreux musées d'art. Il peignait, rarement, des natures mortes avec plusieurs autres artistes roumains. Il fonde l'association artistique Arta Română et est aussi professeur d'art à l'Académie des Beaux-Arts de Bucarest. Il meurt le 14 août 1959 à Bucarest.
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Romanian impressionist painter Nicolae Dărăscu was born on February 28, 1983 in Giurgiu. He studied at the National School of Fine Arts in Romania and received, after graduating, a scholarship from the Académie Julian in Paris. Then, he studied at the Beaux-Arts in Paris. He travelled a lot, and lived in the south of France (Toulon, St-Tropez) and Venice, in Romania (Vlaici), then in Baltchik in 1919. He kept in touch with many European artists and visited many art museums. He rarely painted still lifes with several other Romanian artists. He founded the artistic association Arta Română and became also an art teacher at the Academy of Fine Arts in Bucharest. He died on August 14, 1959 in Bucharest.
Le peintre roumain Stefan Dimitrescu naît à Husi le 18 janvier 1886 dans une famille modeste. Il termine ses études primaires et secondaires dans sa ville natale.
En 1903, passionné pour la musique, il part pour Iaşi, où il suit des cours de violoncelle au conservatoire. À l'été, il entre à l'École nationale des beaux-arts de la ville.
Après avoir obtenu son diplôme, il peint des tableaux muraux pour les églises orthodoxes. Vers 1912, il étudie à Paris, à l'Académie de la Grande Chaumière, où il est attiré par l'impressionnisme. Il s’inscrit dans l'armée roumaine au début de la 1 ère guerre mondiale et peint des toiles tragiques sur la misère engendrée par le conflit. Il explore des thèmes sociaux, tels que les effets des bombardements.
En 1917, avec amis peintres, il fonde l'association « Art de Roumanie » dans leur refuge Iaşi. Il devient professeur à l'École nationale des beaux-arts Iaşi en 1927 et, l'année suivante, est nommé directeur. Vers la fin de sa vie, Dimitrescu élargit sa palette pour couvrir des couleurs plus sombres, tout en explorant des compositions dans lesquelles le fond était dépouillé de détails et généralement d'un blanc dominant.
Il meurt à Iaşi, le 22 mai 1933, et est enterré au cimetière de l'Eternitatea.
En 1903, passionné pour la musique, il part pour Iaşi, où il suit des cours de violoncelle au conservatoire. À l'été, il entre à l'École nationale des beaux-arts de la ville.
Après avoir obtenu son diplôme, il peint des tableaux muraux pour les églises orthodoxes. Vers 1912, il étudie à Paris, à l'Académie de la Grande Chaumière, où il est attiré par l'impressionnisme. Il s’inscrit dans l'armée roumaine au début de la 1 ère guerre mondiale et peint des toiles tragiques sur la misère engendrée par le conflit. Il explore des thèmes sociaux, tels que les effets des bombardements.
En 1917, avec amis peintres, il fonde l'association « Art de Roumanie » dans leur refuge Iaşi. Il devient professeur à l'École nationale des beaux-arts Iaşi en 1927 et, l'année suivante, est nommé directeur. Vers la fin de sa vie, Dimitrescu élargit sa palette pour couvrir des couleurs plus sombres, tout en explorant des compositions dans lesquelles le fond était dépouillé de détails et généralement d'un blanc dominant.
Il meurt à Iaşi, le 22 mai 1933, et est enterré au cimetière de l'Eternitatea.
Le peintre roumain Adrian Ghenie, naît le 13 août 1977 à Baia Mare. Fils de dentiste, il étudie à l'école d'arts et métiers de Baia Mare de 1991 et 1994 et est diplômé en art et design à l'université d'Art et Design de Cluj-Napoca en 2001. En 2005, il cofonde plan Galeria B à Cluj, avec Mihai Pop, une espace de production et d'exposition d'art contemporain. En 2008, le plan B ouvre un nouvel espace d'exposition permanente à Berlin. Depuis 2006, son travail a été largement présenté dans des expos collectives et individuelles, dont à la galerie Tate Liverpool, à Denver en 2012 et New-York en 2013. Il représente à la Roumanie à la 56e Biennale de Venise en 2015.
The Romanian painter Adrian Ghenie, was born on August 13, 1977 in Baia Mare. Son of dentist, he studied at the School of Arts and Crafts of Baia Mare from 1991 and 1994 and graduated in Art and Design at the University of Art and Design of Cluj-Napoca in 2001. In 2005, he co-founded plan Galeria B in Cluj, with Mihai Pop, a production and exhibition space for contemporary art. In 2008, Plan B opens a new permanent exhibition space in Berlin. Since 2006, his work has been widely presented in collective and individual exhibitions, including at Tate Liverpool gallery, Denver in 2012 and New York in 2013. He represented Romania at the 56th Venice Biennale in 2015.
The Romanian painter Adrian Ghenie, was born on August 13, 1977 in Baia Mare. Son of dentist, he studied at the School of Arts and Crafts of Baia Mare from 1991 and 1994 and graduated in Art and Design at the University of Art and Design of Cluj-Napoca in 2001. In 2005, he co-founded plan Galeria B in Cluj, with Mihai Pop, a production and exhibition space for contemporary art. In 2008, Plan B opens a new permanent exhibition space in Berlin. Since 2006, his work has been widely presented in collective and individual exhibitions, including at Tate Liverpool gallery, Denver in 2012 and New York in 2013. He represented Romania at the 56th Venice Biennale in 2015.
Le plus grand peintre roumain Nicolae Grigorescu naît le 15 mai 1838 dans le village de Văcărești de Răstoacă. En 1843, il déménage à Bucarest avec sa mère et ses frères et devient quelques années plus tard l'élève du peintre tchèque Anton Chladek. Il réalise des icônes pour les églises des monastères Baïcoï et Caldarusani et des peintures murales dans un style encore académique.
En 1861, Nicolae obtient une bourse qui lui permet d'étudier à l’école des Beaux-arts de Paris où il a Renoir pour condisciple. Il copie au Louvre les toiles des grands maîtres. À son auberge,il rencontre les maîtres Millet, Daubigny, Corot et s'initie à la peinture de plein air dans les forêts voisines. Il allège sa palette et gagne encore en luminosité.
il voyage en Italie, en Grèce, en Turquie, à Vienne, en Moldavie où il peint les paysans, son thème favori. Pendant la guerre d'indépendance de 1877, il devient « peintre de guerre » et réalise le « Cycle de la campagne ».
De 1879 à 1890, il travaille surtout à Paris et peint à Vitré. De retour en Roumanie, il expose plusieurs fois à l'Athénée 1904. En 1899, il est nommé membre honoraire de l'Académie roumaine. il se consacre alors au portrait et peint des visages expressifs baignés de lumière sur fond sombre.
Fondateur de la peinture moderne en Roumanie, il influence des peintres comme Ion Andreescu et Ștefani. Il meurt le 21 juillet 1907 à Câmpina en Roumanie.
En 1861, Nicolae obtient une bourse qui lui permet d'étudier à l’école des Beaux-arts de Paris où il a Renoir pour condisciple. Il copie au Louvre les toiles des grands maîtres. À son auberge,il rencontre les maîtres Millet, Daubigny, Corot et s'initie à la peinture de plein air dans les forêts voisines. Il allège sa palette et gagne encore en luminosité.
il voyage en Italie, en Grèce, en Turquie, à Vienne, en Moldavie où il peint les paysans, son thème favori. Pendant la guerre d'indépendance de 1877, il devient « peintre de guerre » et réalise le « Cycle de la campagne ».
De 1879 à 1890, il travaille surtout à Paris et peint à Vitré. De retour en Roumanie, il expose plusieurs fois à l'Athénée 1904. En 1899, il est nommé membre honoraire de l'Académie roumaine. il se consacre alors au portrait et peint des visages expressifs baignés de lumière sur fond sombre.
Fondateur de la peinture moderne en Roumanie, il influence des peintres comme Ion Andreescu et Ștefani. Il meurt le 21 juillet 1907 à Câmpina en Roumanie.
Le peintre roumain Stephan Lucian naît en 1868 dans le village Ștefănești. La famille Luchian s'installe à Bucarest en 1873 et il s’inscrit en 1885 dans la classe de peinture de l'école des beaux-arts de Bucarest, où il est encouragé à suivre une carrière de peintre par le grand peintre Nicolae Grigorescu. Il subira l’influence de ce dernier toute sa vie. Après deux semestres à l'Académie des beaux-arts de Munich, il rentre en Roumanie et prend part à la première exposition du groupe Cercul Artistic. Incapable d'accepter les règles académiques imposées par l'école
bavaroise et l'école roumaine, il part, l';année suivante, pour Paris, où il étudie à l'Académie Julian et est l’élève de William-Adolphe Bouguereau. C’est là qu’il fait connaissance avec l'impressionnisme.
Son tableau Ultima cursă de toamnă montre l'influence d'Édouard Manet et d'Edgar Degas, mais se fait aussi l'écho de la Société des artistes indépendants, du modernisme, et du postimpressionnisme.
Paralysé à partir de 1909, il vit le reste de sa vie dans un fauteuil. Il travaille sur une série de paysages et de fleurs. Vers la fin de sa vie Luchian doit se le faire nouer un pinceau à son poignet afin de continuer à travailler. Lorsque sa maladie devint notoire, une rumeur se répandit que Luchian permettait à quelqu'un d'autre de peindre en son nom ; le scandale causé conduisit à l'arrestation de Luchian sous la charge de fraude. Il fut relâché peu après, innocent.
Stefan Luchian est mort en 1917 à Bucarest et est enterré au cimetière Bellu.
bavaroise et l'école roumaine, il part, l';année suivante, pour Paris, où il étudie à l'Académie Julian et est l’élève de William-Adolphe Bouguereau. C’est là qu’il fait connaissance avec l'impressionnisme.
Son tableau Ultima cursă de toamnă montre l'influence d'Édouard Manet et d'Edgar Degas, mais se fait aussi l'écho de la Société des artistes indépendants, du modernisme, et du postimpressionnisme.
Paralysé à partir de 1909, il vit le reste de sa vie dans un fauteuil. Il travaille sur une série de paysages et de fleurs. Vers la fin de sa vie Luchian doit se le faire nouer un pinceau à son poignet afin de continuer à travailler. Lorsque sa maladie devint notoire, une rumeur se répandit que Luchian permettait à quelqu'un d'autre de peindre en son nom ; le scandale causé conduisit à l'arrestation de Luchian sous la charge de fraude. Il fut relâché peu après, innocent.
Stefan Luchian est mort en 1917 à Bucarest et est enterré au cimetière Bellu.
Le peintre roumain Françisc Sirato, naît en 1877 et s’inscrit dans la peinture de la période des deux guerres. Il se spécialise à Düsseldorf, en Allemagne, dans un atelier de lithographie. Puis rentré chez lui, il s’enregistre à l'École des Beaux-Arts de Bucarest car il affectionne le dessin et le graphisme des réalités politiques de l'époque. Cet homme capricieux est d'une grande tenue intellectuelle.
Françisc expose à toutes les expositions de l’époque et avec le « groupe des quatre » de Tonitza, Dumitrescu et Oscar Han.
Il aborde tous les genres et techniques du pastel, à l'aquarelle, à la gouache, au fusain, au crayon... Tout au long de sa création, ses compositions, ses portraits, ses paysages et ses natures statiques démontrent la grande sensibilité coloriste du peintre. Son esprit créatif s'inspire des images issues des paysans et des villages roumains. Il peint aussi les dames dans des scènes d'intérieures. Il sait capturer le moment essentiel de l'état émotionnel vécu par l'être humain. Sa peinture révèle la splendeur de la couleur et le frisson du sentiment qui anime l'état des personnages qu'il a créés
Sa personnalité artistique se distingue par son talent originel pour la couleur enrichie d'un esprit d'élaboration artistique et d'un esprit intellectuel.
Françisc expose à toutes les expositions de l’époque et avec le « groupe des quatre » de Tonitza, Dumitrescu et Oscar Han.
Il aborde tous les genres et techniques du pastel, à l'aquarelle, à la gouache, au fusain, au crayon... Tout au long de sa création, ses compositions, ses portraits, ses paysages et ses natures statiques démontrent la grande sensibilité coloriste du peintre. Son esprit créatif s'inspire des images issues des paysans et des villages roumains. Il peint aussi les dames dans des scènes d'intérieures. Il sait capturer le moment essentiel de l'état émotionnel vécu par l'être humain. Sa peinture révèle la splendeur de la couleur et le frisson du sentiment qui anime l'état des personnages qu'il a créés
Sa personnalité artistique se distingue par son talent originel pour la couleur enrichie d'un esprit d'élaboration artistique et d'un esprit intellectuel.
Le peintre roumain Nicolae Tonitza naît le 13 avril 1886 à Bârlad et sera l’aîné de cinq enfants. En 1902 il s'inscrit à l'École Nationale des Beaux Arts de Iași. Il visite l'Italie et, l’année suivante, il peint avec des collègues l'église du village de Grozești.
En 1908, il part à Munich où il est admis à l'Académie Bavaroise Royale des Arts en Formation. Il expose, publie et écrit dans des revues importantes de Iași. Il quitte l'Allemagne, sans terminer ses études, et voyage en Italie et reste deux ans à Paris où il joint l'atelier de Pierre Laprade et fait des études auprès de peintres renommés.
Les problèmes de l'Impressionnisme, du Postimpressionnisme, du mode de pensée « belle époque » déterminent ses options esthétiques futures et Nicolae découvre le chemin vers l'originalité. Il expose dans son atelier de Montparnasse. L'équilibre, l'hédonisme, la sensualité tempérée, se traduisent déjà dans ses premières œuvres, pleines de lumières, débordantes de tons et de soudures parfaites entre formes et couleurs comme dans son tableau « Faisant la queue pour le pain (1919) ».
En 1911, il retourne au pays et termine ses études à l'École Nationale des Beaux Arts et obtient le certificat « peintre d'église ». Il peindra celles de Scorțeni et Siliște. En 1916, il expose à Bucarest 94 peintures et dessins, avec Ștefan Dimitrescu.
Mobilisé et envoyé sur le front, il est fait prisonnier. Après la guerre, il est à Bucarest, où, en plus de ses expositions il collabore à des publications artistiques d'orientation socialistes. En 1924, il expose à la Biennale de Venise et un an plus tard fonde le « Groupe des quatre » avec Șirato, Han et Dimitrescu.
Tonitza, considéré comme « le plus important » peintre roumain en vie, expose à Barcelone, Amsterdam et Bruxelles. En 1933, il occupe la chaire de peinture à l'Académie des Beaux Arts et en 1937 devient recteur de l'Académie.
En 1939, il tombe gravement malade et s'éteint le 26 février 1940.
En 1908, il part à Munich où il est admis à l'Académie Bavaroise Royale des Arts en Formation. Il expose, publie et écrit dans des revues importantes de Iași. Il quitte l'Allemagne, sans terminer ses études, et voyage en Italie et reste deux ans à Paris où il joint l'atelier de Pierre Laprade et fait des études auprès de peintres renommés.
Les problèmes de l'Impressionnisme, du Postimpressionnisme, du mode de pensée « belle époque » déterminent ses options esthétiques futures et Nicolae découvre le chemin vers l'originalité. Il expose dans son atelier de Montparnasse. L'équilibre, l'hédonisme, la sensualité tempérée, se traduisent déjà dans ses premières œuvres, pleines de lumières, débordantes de tons et de soudures parfaites entre formes et couleurs comme dans son tableau « Faisant la queue pour le pain (1919) ».
En 1911, il retourne au pays et termine ses études à l'École Nationale des Beaux Arts et obtient le certificat « peintre d'église ». Il peindra celles de Scorțeni et Siliște. En 1916, il expose à Bucarest 94 peintures et dessins, avec Ștefan Dimitrescu.
Mobilisé et envoyé sur le front, il est fait prisonnier. Après la guerre, il est à Bucarest, où, en plus de ses expositions il collabore à des publications artistiques d'orientation socialistes. En 1924, il expose à la Biennale de Venise et un an plus tard fonde le « Groupe des quatre » avec Șirato, Han et Dimitrescu.
Tonitza, considéré comme « le plus important » peintre roumain en vie, expose à Barcelone, Amsterdam et Bruxelles. En 1933, il occupe la chaire de peinture à l'Académie des Beaux Arts et en 1937 devient recteur de l'Académie.
En 1939, il tombe gravement malade et s'éteint le 26 février 1940.