La quatrième époque


La quatrième époque (Records après records; Partie mémorable; 5 buts par Maurice Richard; Plusieurs nouveaux records; Saisons régulières clubs; Dans les séries de la coupe Stanley; Parties régulières records individuels).

Avec cette saison 1943-44 commença l’ère la plus glorieuse de toute l’histoire du Canadien, ère que nous qualifierons de 4e époque. Cette ère dura jusqu’à 1946-47 inclusivement. Dans ces quatre saisons, le Canadien remportait les honneurs du championnat de la Ligue tandis qu’il méritait deux fois la coupe Stanley. Ces quatre conquêtes consécutives égalaient les quatre des Bruins de 1938 à 1941-

RECORDS APRÈS RECORDS

Au cours de ces quatre saisons, toutes sortes de records ont été établis. La plupart du temps, ce fut le club Canadien ou ses joueurs qui furent à l’honneur, comme on pourra le constater en prenant connaissance des principales statistiques des clubs en page 130.

11 y eut aussi record d’assistance au Forum, le 4 janvier 1944, avec 14,230 spectateurs, dont 1,500 militaires. L’ancien record de 12,749 spectateurs à une partie professionnelle datait de février 1938 avec les Maroons et les Canadiens en lice. Le 22 mars 1952, un nouveau record était établi avec 16,316 personnes présentes à une partie contre le Détroit alors que Maurice Richard était fêté.

En 1943-44, le Canadien termina d’emblée en tête du classement de six clubs avec le plus haut total dans l’histoire jusque-là, celui de 83 points obtenus au moyen de 38 victoires et 7 parties nulles. Dans toute la saison de 50 parties, le Canadien n’avait subi que cinq échecs pour égaliser un record du Boston en un moins grand nombre de parties, soit en 44, en 1929-30. Ces échecs, il les avait subis à l’étranger. Dans les 25 parties chez lui, le Canadien avait gagné 22 fois et avait annulé 3 fois. C’est dire qu’il n’avait pas connu l’échec de toute la saison devant ses partisans. Ce n’est pas tout. Du 13 mars 1943 jusqu’au 2 novembre 1944, jamais un club visiteur avait gagné. Seulement 4 avaient annulé.

Après cette brillante saison de 1943-44, le Canadien ne subissait qu’une seule défaite dans les séries de la coupe Stanley, à Montréal. Il perdait la première joute de la classique contre le Toronto par 3 à 1. Dans la suite, il gagnait à Montréal par 5 à 1 dans une joute dont nous allons parler tout à l’heure, tandis qu’il gagnait, à Toronto, par 2 à 1 et par 4 à 1. Le Canadien terminait sa série contre le Toronto, à Montréal, gagnant par 11 à 0 pour le plus grand blanchissage dans les séries de la coupe ainsi que pour la plus grande marge de victoire depuis au moins les débuts de la Ligue Nationale, en 1917-18. Ce n’est pas tout, dans la finale contre le Chicago, le Canadien, toujours sous Dick Irvin, remportait la palme dans quatre victoires consécutives dont deux à Montréal, soit par les comptes de 5 à 1, 3 à l, 3 à 2 et 5 à 4,

PARTIE MÉMORABLE

Dans cette dernière partie, le Canadien traînait par 4 à 1, au début de la 3e période. Nos gars égalisèrent, cependant les chances, à la grande joie de tous les partisans, Maurice Richard comptant le but important. Dans la supplémentaire, après 9 minutes et 12 secondes de temps additionnel, c’est Toe Blake, maintenant instructeur du Canadien, qui donnait la victoire au milieu d’acclamations délirantes à nulles autres pareilles. C’était la première fois qu’un club gagnait 8 fois de suite dans les séries de la coupe Stanley. Depuis, soit en 1951-52, le Détroit faisait mieux en ne subissant pas l’échec dans huit parties de suite.

Disons ici que Dick Irvin déclarait, après les séries de 1944, que le Canadien constituait la meilleure équipe de tous les temps.

5 BUTS PAR MAURICE RICHARD

Après l’échec par 3 à 1 contre le Toronto, c’est dans la 1ère victoire par 5 à 1 que Maurice Richard établit un record dans les parties de séries en comptant 5 buts, soit tous ceux de son club. Le total de 5 constituait aussi un record pour les points et il en était de même du total de 5 assistances obtenues par Toe Blake. Ce dernier lui-même établissait un record dans les parties de la coupe en obtenant 18 points dont 11 assistances. Richard faisait merveilleusement avec son record de 12 buts, qui tient encore. Les trois joueurs Lach, Richard et Blake constituaient la ligne qui obtenait le plus grand nombre de points dans les séries de la coupe, 48, avec 18 au crédit de Blake, 17 au crédit de Richard et 13 au crédit de Lach. Certains de ces records ont par la suite été abaissés, soit au printemps de 1955.

* * *

Pour revenir à la position des clubs après la saison régulière, le Détroit suivait le Canadien de loin avec 58 points. Il précédait le Toronto qui en avait 50, le Chicago, 49, le Boston 43 et les Rangers 17 seulement. Ces deux derniers clubs ne prenaient évidemment pas part aux séries. Dans ces séries, le Canadien éliminait le Toronto tandis que le Chicago disposait du Détroit par 2 à 1, 1 à 4, 2 à 0, 7 à 1 et 5 à 2. Dans la finale, comme nous l’avons rapporté, le Tricolore n’eut aucune difficulté à remporter quatre victoires consécutives, à l’exception de la dernière qui fut la seule à nécessiter du temps additionnel. Les autres se terminèrent par 5 à l, 3 à 1 et 3 à 2.

* * *

Cette saison-là, tout en n’obtenant que deux blanchissages seulement, Bill Durnan n’était déjoué que 109 fois pour la basse moyenne de 2.18 et il remportait ainsi à sa 1ère année dans le circuit majeur, les précieux honneurs du trophée Vézina, accordé au gardien le moins souvent déjoué. Dans la 1ère équipe d’étoiles de la saison, le Canadien avait Bill Durnan avec Dick Irvin comme gérant. Dans la seconde, on voyait les noms de Bouchard, Lach et Richard.

PLUSIEURS NOUVEAUX RECORDS

Ce fut pendant les années de la 2e grande guerre, particulièrement en 1943-44, que furent enregistrés plusieurs nouveaux records de la Ligue Nationale, par des clubs et par des joueurs. La plupart allèrent au Canadien, qui domina la scène. Depuis, spécialement en 1954-55 et surtout dans les séries de la coupe Stanley, certains ont été abaissés. En tout cas on trouvera ici la liste de tous les records, tels qu’inscrits dans la publication annuelle de la Ligue, sous la direction de Ken McKenzie, directeur de la publicité, avec en caractères noirs tous ceux établis par des joueurs du Canadien.

SAISONS RÉGULIÈRES CLUBS

LE PLUS DE POINTS PAR UN CLUB EN UNE SAISON.­

101, par les Red Wings de Détroit en gagnant 44 parties et en annu­lant 13 dans un calendrier de 70 parties. En 1950-5l.

LE MOINS DE POINTS PAR UN CLUB EN UNE SAISON.­

12, par les Quakers de Philadelphie avec 4 victoires et 4 parties nulles dans un calendrier de 44 parties, en 1930-31.

PLUS LONGUE SÉRIE DE PARTIES SANS DËFAITE.

23, par les Bruins de Boston, à compter du 22 décembre 1940, contre les Red Wings de Détroit. jusqu’au 25 février 1941, contre les Rangers de New York. Les Bruins gagnèrent 15 fois et annulèrent 8 fois.

PLUS LONGUE SÉRIE DE PARTIES SANS DÉFAITE CHEZ LUI.

28, par le Canadien de Montréal à compter du 13 mars 1943, alors que le club annula par 6 à 6 contre Chicago jusqu’au 2 novembre 1944, alors que le club perdit par 4 à 1 contre le Toronto. Le Canadien, dans cette série, gagna 24 fois et annula 4 fois. Le Cana­dien joua toute la saison 1943-44 sans perdre une seule partie chez lui, gagnant 22 fois et annulant 3 fois.

PLUS LONGUE SÉRIE DE PARTIES SANS DÉFAITE à l’ÉTRANGER.

15, par les Red Wings de Détroit, à compter du 18 octobre 1951, à Chicago, jusqu’au 26 décembre, à New York. Pendant ce temps, les Wings gagnèrent 10 fois et annulèrent 5 fois. Les Bruins de Boston avaient établi le même record, à compter du 22 décembre 1940, à Détroit, jusqu’au 16 mars 1941. Les Bruins ga­gnèrent 9 fois et annulèrent 6 fois.

PLUS LONGUE SÉRIE DE PARTIES SANS VICTOIRE.

25, par les Rangers de New York, à compter du 23 janvier 1944, à New York, jusqu’au 11 novembre 1944, à Détroit. Dans cette série, les Rangers perdirent 21 fois et annulèrent 4 fois.

PLUS LONGUE SÉRIE DE PARTIES SANS VICTOIRE EN UNE SAISON.

21, par les Black Hawks de Chicago et par les Rangers de New York. Les Rangers ont joué leurs 21 dernières parties de la saison 1943-44 sans gagner avec 17 défaites et 4 parties nulles. Le Chicago perdit à Montréal, le 17 octobre 1950 et ne gagna aucune partie jusqu’au 1er février 1951, à Boston, perdant 18 fois et annu­lant 3 fois.

PLUS LONGUE SÉRIE DE PARTIES SANS AVOIR ÉTÉ BLANCHIS.

117, par les Rangers de New York, à compter du 2 novembre 1940, à New York, jusqu’au 31 décembre 1942, à New York également. Si l’on tient compte de 2 parties des séries de la coupe Stanley, avant le début de ce record, et de 9 après, les Rangers ne furent jamais blanchis dans 128 parties.

PLUS LONGUE SÉRIE DE VICTOIRES CONSÉCUTIVES.

14, par les Bruins de Boston, à compter du 3 décembre 1929, à Boston, jusqu’au 12 janvier 1930, à New York.

PLUS LONGUE SÉRIE DE VICTOIRES CONSÉCUTlVES COMPRENANT LES PARTIES DE LA COUPE STANLEY.

15, par les Red Wings de Détroit, à compter du 27 février 1955, à Chicago, jusqu’au 7 avril. à Montréal.

PLUS LONGUE SÉRIE DE DÉFAITES.

15, par les Quakers de Philadelphie, à compter du 29 novembre 1930, à Philadelphie, contre les Rangers, jusqu’au 10· janvier 1931, contre les Maroons de Montréal.

PLUS DE PARTIES NULLES EN UNE SAISON.

22, par les Maple Leafs de Toronto, dans un calendrier de 70 parties, en 1954-55.

MOINS DE PARTIES NULLES EN UNE SAISON.

1, par les Bruins de Boston. dans un calendrier de 44 parties. En 1929-30.

PLUS DE BUTS COMPTÉS PAR UN CLUB EN UNE SAISON.

236, par les Red Wings de Détroit, dans un calendrier de 70 parties. En 1950-51.

MOINS DE BUTS COMPTÉS PAR UN CLUB EN UNE SAISON.

76, par les Quakers de Philadelphie, dans un calendrier de 44 parties, en 1930-31.

PLUS DE BUTS COMPTÉS PAR UN CLUB EN UNE PARTIE.

16, par les Canadiens de Montréal, le 3 mars 1920, contre les Bouledogues de Québec, qui perdirent par 16 à 3.

PLUS DE BUTS CONSÉCUTIFS PAR UN CLUB EN UNE PARTIE.

15, par les Red Wings de Détroit. à Détroit, contre les Rangers de New York, alors que le compte fut de 15 à 0, le 23 janvier 1944.

PLUS DE BUTS PAR UN CLUB DANS UNE PÉRIODE.

8, par les Red Wings de Détroit, à Détroit, dans la 3e période, le 23 janvier 1944, dans une victoire par 15 à 0 contre les Rangers.

PLUS DE BUTS EN TOUT DANS UNE PARTIE.

21, dont 7 par le Toronto, et 14 par le Canadien, le 10 janvier 1920.

PLUS DE POINTS EN TOUT DANS UNE PARTIE.

45, par les Maroons de Montréal, 28, contre les Canadiens 17, alors que les Maroons l’emportaient par 11 à 7, le 11 janvier 1938.

PLUS DE POINTS PAR UN CLUB DANS UNE PARTIE.

37, par les Red Wings de Détroit, le 23 janvier 1944, à Détroit alors qu’ils l’emportaient sur les Rangers de New York par 15 à 0.

PLUS DE POINTS PAR UN CLUB DANS UNE PÉRIODE.

22, par les Red Wings de Détroit, dans la 3e période, à Détroit, le 23 janvier 1944, dans une victoire par 15 à 0 contre les Rangers de New York.

PLUS DE BUTS CONTRE EN UNE SAISON.

310, Dans un calendrier de 50 parties, en 1943-44, les adversaires comptèrent 310 fois contre les Rangers.

PLUS DE BUTS CONTRE EN UNE PARTIE.

16, Par les Bouledogues de Québec, qui perdirent 16 à 3 aux Canadiens de Montréal le 3 mars 1920.

PLUS RAPIDE ENREGISTREMENT DE BUTS PAR DEUX CLUBS.

8 en 4 minutes et 52 secondes, dans la 3e période, le 19 mars 1938, alors que les Maple Leafs de Toronto comptèrent 5 fois contre 3 par les Americans de New York.

PLUS RAPIDE ENREGISTREMENT DE 4 BUTS.

2 minutes et 10 secondes, alors que le 12 mars 1952, à New York, contre le Chicago, Don Raleigh, Ed Slowinski et Wally Hergesheimer, tous des Rangers, comptèrent à 12:10, 13:01, 13:15 et 14:20.

PLUS DE MINUTES DE PUNITIONS PAR UN CLUB EN UNE SAISON.

1,062 par les Canadiens de Montréal, dans un calendrier de 70 parties, en 1953-54.

PLUS DE MINUTES DE PUNITIONS DANS UNE PARTIE.

  1. Le 9 décembre 1953, à Toronto, les Canadiens de Montréal se virent imposer 8 punitions de mauvaise conduite, 2 majeures et 8 mineures pour 106 minutes tandis que les joueurs des Maple Leafs de Toronto se voyaient imposer 7 punitions de mauvaise conduite. 2 majeures et 9 mineures, pour 98 minutes.

PLUS DE MINUTES DE PUNITIONS EN UNE PÉRIODE.

  1. Dans la 3e période d’une partie à Toronto, le 9 décembre 1953, les Maple Leafs et les Canadiens se virent décerner 15 punitions de mauvaise conduite, 4 majeures et 7 mineures.

PLUS DE PUNITIONS DANS UNE PARTIE.

  1. Dans une partie arbitrée par Frank Udvari, à Toronto, le 9 décembre 1953, les Maple Leafs de Toronto et les Canadiens de Montréal se virent imposer 17 punitions mineures. 4 majeures et 15 de mauvaise conduite.

PLUS DE PUNITIONS EN UNE PÉRIODE.

26, dont 15 de mauvaise conduite, 4 majeures et 7 mineures dans la 3e période d’une partie, le 9 décembre 1953, entre les Canadiens de Montréal et les Maple Leafs de Toronto.

LE PLUS DE BLANCHISSAGES CONTRE UN CLUB EN UNE SAISON.

En 1928-29, alors qu’il y eut le plus de blanchissages dans une saison chez tous les clubs soit 120, le Chicago fut blanchi 20 fois en 44 parties dont 8 fois de suite.

DANS LES SÉRIES DE LA COUPE STANLEY

PLUS LONGUE PARTIE.

176 minutes et 30 secondes. Les 24 et 25 mars 1936, à Montréal, les Red Wings de Détroit et les Maroons de Montréal jouèrent 116 minutes et 30 secondes de temps supplémentaire avant que l’égalité de 0 à 0 ne fût brisée par « Mud » Bruneteau, sur une passe de Hec Kilrea. Il était 2 heures et 25 du matin.

PLUS COURTE PARTIE À TEMPS SUPPLÉMENTAIRE.

25 secondes. Syd Howe compta pour le Détroit, après 25 secondes de temps additionnel pour une victoire de 2 à 1 contre les Americans de New York, le 19 mars 1940. à Détroit.

PLUS RAPIDE ENREGISTREMENT DE 5 BUTS.

3 minutes et 36 secondes. 5 buts furent enregistrés dans la 3e période en 3 minutes et 36 secondes, dans une partie à Montréal, le 30 mars 1944, alors que les Maple Leafs étaient défaits par les Canadiens par 11 à 0.

PLUS GRAND BLANCHISSAGE.

11 à 0. Les Canadiens de Montréal l’ont emporté par 11 à 0 contre les Maple Leafs de Toronto dans la 5e partie de demi-finale, le 30 mars 1944.

PLUS DE VICTOIRES CONSÉCUTIVES.

  1. Les Red Wings de Détroit gagnèrent la coupe Stanley en 8 parties consécutives, contre les Maple Leafs de Toronto et les Canadiens de Montréal, dans les séries de la coupe Stanley, au printemps de 52. Précédemment au printemps 1944, les Canadiens de Montréal, après avoir subi une défaite contre les Maple Leafs de Toronto, remportèrent huit parties de suite contre les Leafs et contre les Black Hawks de Chicago.

PLUS DE BUTS DANS UNE FINALE DE LA COUPE STANLEY.

  1. Les Red Wings de Détroit comptèrent 27 buts et les Canadiens 20, dans la sÉrie finale de la coupe Stanley, au printemps 1955.

PLUS DE PARTIES SANS VICTOIRE PAR UN CLUB RECEVEUR.

  1. Le club visiteur l’emporta sur le receveur dans les 9 premières parties des séries de la coupe Stanley, en 1950-51. 5 de ces parties furent jouées entre le Canadien et le Détroit, et 4 entre le Toronto et le Boston .

PLUS DE PUNITIONS DANS UNE SÉRIE.

  1. Dans la demi-finale entre le Toronto et le Boston, en 1951, 59 mineures, 8 majeures et 3 de mauvaise conduite furent imposées à des joueurs des deux clubs par l’arbitre Red Storey.

PLUS DE PUNITIONS DANS UNE PARTIE ET DANS UNE PÉRIODE.

  1. L’arbitre Red Storey a imposé 15 punitions, à des joueurs dans la 1ère période d’une partie demi-finale entre le Boston et le Toronto, à Boston, le 31 mars 1951. Les 15 punitions comprenaient 12 mineures, 2 majeures et 1 de mauvaise conduite. ~

PARTIES RÉGULIÈRES RECORDS INDIVIDUELS

PLUS DE BUTS.

  1. Par Maurice Richard, en 13 saisons avec les Canadiens de Montréal.

PLUS DE BUTS Y COMPRIS LES SÉRIES.

  1. Par Maurice Richard des Canadiens de Montréal, avec 57 buts dans les séries de la coupe Stanley et 422 dans les parties régulières .

PLUS D’ASSISTANCES.

  1. Par Elmer Lach, en 14 saisons avec les Canadiens de Montréal.

PLUS D’ASSISTANCES Y COMPRIS LES SÉRIES.

  1. Par Elmer Lach des Canadiens de Montréal, avec 408 dans les parties régulières et 45 dans les parties de la coupe Stanley.

PLUS DE POINTS DANS LES PARTIES RÉGULIÈRES.

  1. Par Maurice Richard des Canadiens de Montréal, avec 422 buts et 303 assistances en 13 saisons.

PLUS DE POINTS Y COMPRIS LES SÉRIES.

  1. Par Maurice Richard, avec 57 buts et 25 assistances pour 82 points dans les séries de la coupe Stanley, et avec 422 buts et 303 assistances pour 725 points dans les parties régulières.

PLUS DE BUTS EN UNE SAISON.

  1. Par Maurice Richard des Canadiens de Montréal dans un calendrier de 50 parties, en 1944-45.

PLUS D’ASSISTANCES EN UNE SAISON.

  1. Par Ted Lindsay des Red Wings de Détroit dans un calendrier de 70 parties, en 1949-50.

PLUS DE POINTS EN UNE SAISON.

  1. Par Gordie Howe des Red Wings de Détroit dans un calendrier de 70 parties, en 1952-53 avec 49 buts et 46 assistances.

PLUS DE BUTS DANS UNE PARTIE.

  1. Par 100 Malone des Bouledogues de Québec, le 31 janvier 1920, alors que le Québec gagnait contre les St. Pats de Toronto par 10 à 6.

PLUS D’ASSISTANCES DANS UNE PARTIE.

  1. Par Billy Taylor des Red Wings de Détroit, à Chicago, le 16 mars 1947, alors que son club l’emportait sur les Black Hawks par 10 à 6.

PLUS DE POINTS DANS UNE PARTIE.

  1. Par Maurice Richard des Canadiens de Montréal et par Bert Olmstead du même club. Richard compta 5 buts et obtint 3 assistances, contre les Red Wings de Détroit, à Montréal, dans une victoire de 9 à 1, le 28 décembre 1944. Olmstead, lui, a compté 4 buts et obtenu 4 assistances, dans une victoire par 12 à 1, contre les Black Hawks de Chicago, à Montréal, le 9 janvier 1954.

PLUS DE POINTS DANS UNE PÉRlODE.

  1. Par Les Cunningham des Black Hawks de Chicago, avec 2 buts et 3 assistances, dans la 3e période d’une victoire par 8 à 1 contre les Canadiens de Montréal, le 28 janvier 1940, et par Max Bentley du Chicago avec 4 buts et 1 assistance, dans la 3e période, le 28 janvier 1943, dans une victoire par 10 à 1 contre les Rangers de New York.

PLUS DE BUTS DANS UNE PARTIE PAR UN JOUEUR DE DÉFENSE.

  1. Par Johnny McKinnon, des Pirates de Pittsburgh,

et par Happy Day des Maple Leafs de Toronto, dans une victoire par 9 à 5 sur le Toronto, à Pittsburgh, le 19 novembre 1929.

PLUS DE POINTS EN UNE SAISON PAR UN JOUEUR DE DÉFENSE.

  1. Par Babe Pratt des Maple Leafs de Toronto dans un calendrier de 50 parties, en 1943-44, avec 17 buts et 40 assistances.

LE PLUS DE BUTS EN UNE SAISON PAR UN JOUEUR DE DÉFENSE.

  1. Par Flash Hollett des Red Wings de Détroit dans un calendrier de 50 parties, en 1944-45.

PLUS D’ASSISTANCES DANS UNE SAISON PAR UN JOUEUR DE DÉFENSE.

  1. Par Doug Harvey des Canadiens de Montréal, dans un calendrier de 70 parties en 1954-55.

PLUS DE POINTS EN UNE SAISON PAR UN CENTRE.

  1. Par Elmer Lach des Canadiens de Montréal, avec 26 buts et 54 assistances dans un calendrier de 50 parties, en 1944-45.

PLUS DE POINTS EN UNE SAISON PAR UN AILlER DROIT.

  1. Par Gordie Howe des Red Wings de Détroit, avec 49 buts et 46 assistances dans un calendrier de 70 parties. En 1952-53.

PLUS DE POINTS EN UNE SAISON PAR UN AILlER GAUCHE.

  1. Par Herbie Cain, des Bruins de Boston, avec 36 buts et 44 assistances, dans un calendrier de 50 parties, en 1943-44.

PLUS DE BUTS EN UNE SAISON PAR UN AILlER DROIT.

  1. Par Maurice Richard des Canadiens de Montréal, dans un calendrier de 50 parties, en 1944-45.

PLUS DE BUTS EN UNE SAISON PAR UN CENTRE.

  1. Par Cooney Weiland des Bruins de Boston, dans un calendrier de 44 parties, en 1929-30.

PLUS DE BUTS EN UNE SAISON PAR UN AILlER GAUCHE.

  1. Par Joe Malone des Canadiens de Montréal, dans un calendrier de 22 parties, en 1917-18.

PLUS DE POINTS EN UNE SAISON PAR UNE RECRUE.

  1. Par Gus Bodnar des Maple Leafs de Toronto, avec 22 buts et 40 assistances, dans un calendrier de 50 parties, en 1943-44.

PLUS DE BUTS EN UNE SAISON PAR UNE RECRUE.

  1. Par Nels Stewart des Maroons de Montréal, dans un calendrier de 36 parties, en 1925-26.

PLUS D’ASSISTANCES EN UNE SAISON PAR UNE RECRUE.

  1. Par Gus Bodnar des Maple Leafs de Toronto, dans un calendrier de 50 parties, en 1943-44.

PLUS D’ASSISTANCES EN UNE PARTIE PAR UNE RECRUE.

  1. Par Earl (Butch) Reihel des Red Wings de Détroit dans une victoire par 4 à 1 de son club contre les Rangers de New York, à Détroit, le 8 octobre 1953.

PLUS RAPIDE ENREGISTREMENT D’UN BUT PAR UNE RECRUE.

15 secondes. Par Gus Bodnar des Maple Leafs de Toronto, dans une partie contre les Rangers de New York, à Toronto, le 30 octobre 1943.

PLUS RAPIDE ENREGISTREMENT D’UN BUT.

8 secondes. Par Ted Kennedy des Maple Leafs de Toronto, le 24 octobre 1953, dans une défaite par 3 à 2 contre le Boston, à Toronto. Et par Ron Martin des Americans de New York, le 4 décembre 1932, dans une victoire des Americans sur les Canadiens de Montréal, par 4 à 2.

PLUS RAPIDE ENREGISTREMENT DE DEUX BUTS.

4 secondes. Par Nels Stewart, des Maroons de Montréal, à Montréal, le 3 janvier 1931 dans une victoire de son club par 5 à 3 sur les Bruins de Boston.

PLUS RAPIDE ENREGISTREMENT DE 3 BUTS.

21 secondes. Par Bill Mosienko, des Black Hawks de Chicago, dans la 3e période d’une partie à New York contre les Rangers, le 23 mars 1952, à 6:09, 6:20 et 6:30. Le Chicago l’emporta par 7 à 6.

PLUS RAPIDE OBTENTION D’ASSISTANCES.

21 secondes. Par Gus Bodnar des Black Hawks de Chicago, sur les trois buts de Bill Mosienko du même club, dans la 3e période d’une victoire par 7 à 6 des Black Hawks sur les Rangers de New York, à New York, le 23 mars 1952.

PLUS LONGUE SÉRIE DE PARTIES AVEC L’ENREGISTREMENT D’UN BUT OU PLUS.

  1. Par Maurice Richard des Canadiens de Montréal, à compter du 17 janvier 1945 jusqu’au 11 février 1945. Richard compta 14 buts dans ces 9 parties.

PLUS DE PARTIES CONSÉCUTIVES PAR UN JOUEUR.

  1. Par Murray Murdoch des Rangers de New York, au cours des saisons régulières. En tenant compte de 55 parties dans les séries de la coupe Stanley, Murdoch a joué dans 563 parties de suite, de la saison 1926-27 jusqu’à la fin de la saison 1936-37.

PLUS DE SAISONS CONSÉCUTIVES DANS LA L.N.H. PAR UN JOUEUR.

  1. Par Aubrey V. « Dit » Clapper des Bruin. de Boston, de 1927-28 à 1946-47.

LIGNE AVEC LE PLUS DE POINTS DANS UNE SAISON RÉGULIÈRE.

  1. Par la ligne des Canadiens de Montréal, formée d’Elmer Lach au centre, Maurice Richard à l’aile droite et Toe Blake à l’aile gauche, dans un calendrier de 50 parties, en 1944-45. Lach a eu 80 points, Richard 73 et Blake 67.

MOINS DE BUTS CONTRE UN GARDIEN EN UNE SAISON.

  1. Par George Hainsworth des Canadiens de Montréal, dans un calendrier de 44 parties, en 1928-29.

PLUS DE BLANCHISSAGES PAR UN GARDIEN EN UNE SAISON.

  1. Par George Hainsworth des Canadiens de Montréal, dans un calendrier de 44 parties, en 1928-29.

PLUS DE BLANCHISSAGES CONSÉCUTIFS PAR UN GARDIEN.

  1. Par Alex Cannell des Sénateurs d’Ottawa, en 1927~ 28. Cannell fut 446 minutes et 9 secondes dans les filets sans être déjoué. (Dans le temps, la passe en avant n’était pas permise dans la zone d’attaque.)

RECORD MODERNE DE PLUS DE MINUTES CONSÉCUTIVES POUR UN GARDIEN SANS ETRE DÉJOUÉ.

309 minutes et 21 secondes. Par Bill Durnan des Canadiens de Montréal, du 24 février 1949 au 9 mars 1949, à Chicago. Durnan réussit 4 blanchissages de suite.

PLUS DE PUNITIONS DANS UNE PARTIE.

  1. Par George Boucher des Sénateurs d’Ottawa, dans une partie contre les Maroons de Montréal, à Montréal, le 29 janvier 1927.

PLUS DE MINUTES DE PUNITION DANS UNE PARTIE.

  1. Par Ted Lindsay des Red Wings de Détroit avec 2 majeures. 1 mauvaise conduite et 1 mauvaise conduite de match, dans une partie contre les Maple Leafs de Toronto, à Détroit, le 12 octobre 1952.

PLUS DE MINUTES DE PUNITION EN UNE SAISON.

  1. Par Red Horner des Maple Leafs de Toronto, dans un calendrier de 48 parties, en 1935-36.

PLUS DE MINUTES DE PUNITION EN UNE SAISON PAR UN JOUEUR DE DÉFENSE.

  1. Par Red Horner des Maple Leafs de Toronto, dans un calendrier de 48 parties, en 1935-36.

PLUS DE MINUTES DE PUNITION EN UNE SAISON PAR UN CENTRE. –

  1. Par Nels Stewart des Maroons de Montréal, dans un calendrier de 44 parties en 1926-27.

PLUS DE MINUTES DE PUNITION EN UNE SAISON PAR UN AILIER DROIT.

  1. Par Bill Ezinicki des Maple Leafs de Toronto dans un calendrier de 60 parties, en 1948-49.

PLUS DE MINUTES DE PUNITION EN UNE SAISON PAR UN AILIER GAUCHE.

  1. Par Ted Lindsay des Red Wings de Détroit, dans un calendrier de 70 parties, en 1949-50.

DANS LES SÉRIES DE LA COUPE STANLEY

PLUS DE POINTS DANS LES SÉRIES.

  1. Par Gordie Howe des Red Wings de Détroit, avec 9 buts et 11 assistances, dans 11 parties contre les Maple Leafs de Toronto et les Canadiens de Montréal, dans les séries de 1954-55.

PLUS DE BUTS DANS LES SÉRIES.

  1. Par Maurice Richard des Canadiens de Montréal, en 9 parties dans les séries contre les Maple Leafs de Toronto et les Black Hawks de Chicago, en 1943-44.

PLUS D’ASSISTANCES DANS LES SÉRIES.

  1. Par Elmer Lach des Canadiens de Montréal et Ted Lindsay des Red Wings de Détroit. Lach a obtenu les assistances en 9 parties, dans les séries 1945-46 contre les Black Hawks de Chicago et les Bruins de Boston. Lindsay a obtenu aussi 12 assistances mais en 11 parties de 1954-55 contre les Maple Leafs de Toronto et les Canadiens de Montréal.

PLUS DE PARTIES DANS LES SÉRIES.

  1. Par Emile Butch Bouchard des Canadiens de Montréal dans 13 groupes de séries.

LIGNE AVEC PLUS DE POINTS DANS LES SÉRIES.

51 points ont été obtenus par le centre Earl Reibel, l’ailier droit Gordie Howe et l’ailier gauche Ted Lindsay des Red Wings de Détroit contre les Maple Leafs de Toronto et les Canadiens de Montréal. Howe a obtenu 20 points. Lindsay 19 et Reibel 12.

PLUS DE BLANCHISSAGES DANS LES SÉRIES.

  1. Par Terry Sawchuk des Red Wings de Détroit en 2 parties contre les Maple Leafs de Toronto et 2 parties contre les Canadiens de Montréal, au printemps de 1951-52; par Frank McCool des Maple Leafs de Toronto en une partie contre les Canadiens de Montréal et en 3 contre les Red Wings de Détroit, en 1944-45; par Dave Kerr des Rangers de New York, contre les Maroons de Montréal et les Red Wings de Détroit, au printemps de 1936-37; par Clint Benedict des Maroons de Montréal, contre l’Ottawa, le Canadien et 2 contre les Rangers, en 1927-28.

PLUS DE BUTS EN UNE PARTIE DES SÉRIES DE LA COUPE.

  1. Par Maurice Richard des Canadiens de Montréal, qui enregistra tous les buts de son club dans une victoire par 5 à 1 contre les Maple Leafs de Toronto, à Montréal, le 23 mars 1944.

PLUS D’ASSISTANCES EN UNE PARTIE DES SÉRIES DE LA COUPE.

  1. Par Toe Blake des Canadiens de Montréal, alors qu’il fournit des passes à Maurice Richard pour l’enregistrement des 5 buts des Canadiens contre les Maple Leafs de Toronto, à Montréal, le 23 mars 1944.

PLUS DE POINTS EN UNE PARTIE DES SÉRIES DE LA COUPE.

  1. Par « Dickie Moore des Canadiens de Montréal avec 2 buts et 4 assistances, contre les Bruins de Boston, à Montréal, le 25 mars 1954, dans une victoire de son club par 8 à 1.

ENREGISTREMENT LE PLUS RAPIDE D’UN BUT DANS UNE PARTIE DES SÉRIES DE LA COUPE.

9 secondes. Par Gordie Howe des Red Wings de Détroit, au début d’une partie à Détroit, le 1er avril 1954, contre les Maple Leafs de Toronto. Le Détroit l’emporta par 4 à 3, en temps additionnel.

PLUS DE BLANCHISSAGES DANS LES SÉRIES.

  1. Par Turk Broda des Maple Leafs de Toronto, en 13 groupes de séries.

PLUS DE POINTS DANS LES PARTIES DES SÉRIES DE LA COUPE.

  1. Par Maurice Richard des Canadiens de Montréal, avec 57 buts et 25 assistances en 10 groupes de séries.

PLUS DE BUTS DANS LES PARTIES DES SÉRIES DE LA COUPE.

  1. Par Maurice Richard des Canadiens de Montréal dans 10 groupes de séries.

PLUS D’ASSISTANCES DANS LES PARTIES DES SÉRIES DE LA COUPE.

  1. Par Elmer Lach, des Canadiens de Montréal dans 11 groupes de séries.